Corde vibrante

L’ouvrage « Anagrammes renversantes » d’Etienne Klein et Jacques Perry-Salkow contient plusieurs perles.

Je trouve cet éclairage sur la relation entre la science et la métaphysique très poétique. Sa lecture est un pur bonheur, un moment émouvant pour certaines anagrammes, de la vibration quelquefois.

Quand le scientifique et l’artiste se rencontrent, l’univers ré(ai)sonne à leur diapason (et réciproquement) et nous invite à l’écouter, à  être attentif à son chant, à sa mélodie jouée de son instrument à supercordes.

Ainsi, voici celle qui retient toute mon attention pour cet article découverte de ce bel ouvrage :

« La théorie des supercordes » nous dévoile « de la poussière d’orchestre » – magnifique, non !? Et, cerise sur le gâteau, un petit commentaire nous explique succinctement ce qu’est la théorie des supercordes et comment elle se trouve associée à l’orchestre de poussière cosmique.

Bonne lecture et bonnes vibrations à vous.