Voir Hawaï et guérir

Ho’oponopono ou le secret des guérisseurs hawaïens a de nombreux adeptes, et de plus en plus.
Vous êtes tenté par la pratique de cette méthode, vous désirez aller en stage, sachez que vous pouvez commencer par la lecture – et ainsi vous en faire une idée – du petit ouvrage du même nom réalisé par Maria-Elisa Hortado-Graciet et Dr Luc Bodin.
Ces 2 auteurs nous offrent un condensé de l’histoire et nous livrent le secret Ho’oponopono.
Il est bon de noter que sa présentation est très d’approche très ludique et que sa formule est très facile à lire.
La structure de ce format de poche nous invite à parcourir les différentes facette d’Ho’oponopono qui nous mènent de sa découverte à notre évolution personnelle en en comprenant les principes et en fournissant les moyens de l’appliquer au quotidien.
Leur ouvrage est auto-portant en quelque sorte et plaisant de surcroît, il va vous permettre de reconnaître que
vous êtes le créateur de tout votre univers, de toute votre réalité.

Alors pourquoi vous intéresseriez vous à cet art de vivre hawaïen ?
« parce que Ho’oponopono nous apprend l’amour des autres et de soi-même »;
« parce qu’avec, il n’y a pas de haine, pas de calomnie, de rancune, il n’y a que pardon, compréhension et amour, ce qui est très reposant »;
Le Dr Luc Bodin se sert même de la physique quantique pour faire un pont entre sa compréhension de l’univers et l’espace qu’ouvre devant nous Ho’oponopono.
« Ho’oponopono nous permet d’intégrer une nouvelle conscience, une conscience d’unité et de partage, dans le plaisir, la joie et le bonheur »;
« il nous permet de nettoyer les mémoires intérieures – prendre contact avec son être supérieur pour lui demander de nettoyer les mémoires erronées »;
« la guérison vient d’un sentiment d’unité »;
 » Ho’oponopono permet aux êtres humains de s’affranchir de leurs chaînes passées pour accéder aux nouvelles énergies annonciatrices des merveilleux changements à venir pour le plus grand bien de l’ensemble de l’humanité ».

« En apprenant à rester en contact avec notre divinité intérieure, nous n’avons plus besoin de gourou ni d’aucun intermédiaire pour nous montrer le chemin« ,
et en final :
Désolé, pardon, merci, je t’aime !